CaveauNoir

Rêves mortuaires

Lundi 9 août 2010 à 21:21

"Tiens ton blog il est tout noir :), ça mettra de la couleur",

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m'a t'il dit un soir.

Il est vrai qu'à trop adorer ce noir on s'y enfonce pour n'en sortir que trop difficilement.. Confortable mais étouffant, mettons quelques tâches jaunes de ci, de là! Un peu de joie et de gaité ne font de mal à personne... =) *zouille son nemji et lui donne de la patience* o/



Mercredi 29 septembre 2010 à 17:43

L'être humain à des ailes, invisibles, qui se nomment liberté.

Il les sens quand il se croit libéré, sans contraintes.

Lorsqu'il ne marche pas sur le trottoir. Qu'est ce qui le pousse à le faire d'ailleurs?

Ne pas être un mouton à qui l'on dirait tout faire. Le trottoir est un chemin tracé pour les hommes à pieds, pour une question de sécurité oui. Il y va d'ailleurs, surtout quand le danger est bien réel et qu'il n'est pas suicidaire. Mais pourquoi marcher à coté?

Désobéir est une jouissance qu'il aime. Certains plus que d'autres refusent les contraintes des autorités et, on en eux l'envie de faire le contraire de ce qu'on leur demande. Marcher à coté du trottoir est une chose facile, ne pas suivre ce que l'on nous donne, ne pas suivre ces moutons qui ne traversent qu'au vert. Ce ne sont pas eux qui décident de notre vie, c'est nous, alors nous le montrons en ne respectant pas ce qu'ils veulent nous faire faire. Et nous décidons que la route est bien plus large, qu'on ne peut nous écraser sans sanctions, que nous sommes forts à s'opposer à suivre un tracé que nous n'avons pas forcément voulu. Les barrières du trottoir ce sont abbatues et l'espace de la route devient immense, les ailes s'étendent, et nous volons. 



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Dimanche 31 octobre 2010 à 22:22

 Le cœur emplit de larmes qui ne daignent sortir,

Pourrissant ma gorge, ne pouvant que mentir,

Je n’ose plus coucher ces mots plein d’amertumes

Espérant m’envoler telle une jolie plume

 

Ce soleil était chaud, il en devint brulant,

De me voir ainsi noire, en deuil si longtemps,

Pour un silence pesant, une absence illusoire,

Je maintenais mon cœur sur la lame d’un rasoir

 

Ce croissant de coton maintenant transparent

Fermait mes yeux bleus sur un nouvel orléans

Où les corps vaporeux et leur mouvements de danse

M’emporteraient au plus loin de leur transe

 

Ma lune amusez moi, soleil sage comprenez

Que mon être dénué de sens et volonté

Me balade sans vie sous votre belle journée,

La nuit mon âme croit aux rêves que l’on m’a insufflé …



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Vendredi 21 janvier 2011 à 9:28

Sous ma peau ruisselle ce sang,
mes peines et sentiments,
aussi noirs sous le vent
Que froids au printemps...

Et si je souris quelque fois c'est qu'il est là, près de moi. Ce n'est pas si souvent, pas autant que je le voudrait. C'est comme ça..

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Dimanche 6 février 2011 à 21:23

Flammes joyeuses soyez heureuses,
Dansez nombreuses et cajoleuses,
Brulez le cœur des innocents
D'un corps voletant et fascinant.

Grandes Flammes ténébreuses
Voluptueuses et paresseuses, 
Nous caressant la peau sciemment,
Et de notre air se nourrissant,


Bercez moi sous le chant des hiboux,
Emmenez moi enfin vers vous,
Vous avez tant éclairé mes nuits.
Je vous offre mon souffle de vie..
.

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