Regarde ce sang sur tes mains,
Comme il te donne envie,
la trêve t'es interdite,
Résiste pour vivre enfin;
De souffrances méritées
Le calvaire s'évapore,
ces gens sont des porcs
A leurs sexes calcinés;
Ma tete est malade, comprend
Ce que tu ne sais pas voir,
Regarde en mon miroir
toutes mes peines et apprends
A me connaitre à présent,
J'arrache mes cheveux un à un,
Les ongles plantés en mes mains
Douleur mon doux amant...
Réveille toi petite, réveille toi
Dans ton monde vide de joie
Les corps dégueulasses chantent ensembles
Dans des rondes où ne dorment que cendres,
S'envolent et meurent les corps dénudés,
Mon sourire nait de leur douce mort,
Leur crâne en ma main, mes jouets,
Fort je serre leur vie, fort,
Je les étoufferai à en perdre la tête,
Mes brulures disparaitront un moment,
Reviendront et la voix qui m'arrête
De ses beaux yeux, l'Ombre guette,
Course après moi, des années durant,
Attrapant la folie qui dort en moi,
l'Ombre veille et sombre souvent
Dans mon sommeil, tel l'émoi ..
Comme il te donne envie,
la trêve t'es interdite,
Résiste pour vivre enfin;
De souffrances méritées
Le calvaire s'évapore,
ces gens sont des porcs
A leurs sexes calcinés;
Ma tete est malade, comprend
Ce que tu ne sais pas voir,
Regarde en mon miroir
toutes mes peines et apprends
A me connaitre à présent,
J'arrache mes cheveux un à un,
Les ongles plantés en mes mains
Douleur mon doux amant...
Réveille toi petite, réveille toi
Dans ton monde vide de joie
Les corps dégueulasses chantent ensembles
Dans des rondes où ne dorment que cendres,
S'envolent et meurent les corps dénudés,
Mon sourire nait de leur douce mort,
Leur crâne en ma main, mes jouets,
Fort je serre leur vie, fort,
Je les étoufferai à en perdre la tête,
Mes brulures disparaitront un moment,
Reviendront et la voix qui m'arrête
De ses beaux yeux, l'Ombre guette,
Course après moi, des années durant,
Attrapant la folie qui dort en moi,
l'Ombre veille et sombre souvent
Dans mon sommeil, tel l'émoi ..