Enlacés dans la nuit
Deux amants loin s’enfuient
De leurs soucis et oublient
En s’aimant à l’abris,
Au Couffin de soie noire
Où ils n’oseraient croire
Ne serait-ce qu’un soir,
A la fin de l’espoir.
Et leurs beaux yeux s’emmêlent ,
Les sentiments n’ont d’ailes
Pourtant volent et martèlent
Les cœurs en la chapelle
Où le couffin de soie
Posé sur l’autel, noie
Ces deux là sans émoi,
Qui s’éteignaient sans voix …